Meteo Caldas
Nimbostratus
Bom Dia
Céu limpo e temperatura a subir a bom ritmo
Temperatura Actual 17,7°C
Humidade Actual 60%
Vento fraco de Nordeste
Temperatura Minima 5,4°C
Entretanto a ameaca de seca e o perigo dos incendios é tema de preocupaçao na Comunicaçao Social
En trois mois, du 1er janvier au 31 mars, il n’est tombé que 87 mm à Aigle (40% de la norme 1961-1990), 116 mm (49%) à Lausanne et 57 mm (33%) à Payerne. La situation est pire encore en Valais avec une valeur record pour Crans-Montana, à 36 mm (12%). En comparaison, Bâle a reçu 114 mm (75%), Lucerne 156 mm (79%).
Pour Vincent Devantay, de MeteoNews, ce déficit hydrique important a comme conséquences un très faible enneigement en montagne et des niveaux anormalement bas des nappes phréatiques et du débit des cours d’eau.
Risque d'incendies
«La situation pourrait devenir critique ces prochaines semaines pour la nature et le danger d’incendie. Il faudrait plusieurs jours de précipitations continues pour que la situation s’améliore. Sans oublier que l’automne dernier a été très sec aussi. Heureusement que l’on a vécu un épisode neigeux fin novembre-début décembre!»
Ces très faibles précipitations ont été accompagnées de températures très élevées. Toujours selon Vincent Devantay, «en mars, les températures ont été de 3 à 4 degrés supérieures à la moyenne. Ce fut déjà le cas, dans une moindre mesure, en janvier et en février. Mais, en 2003, durant l’été, les températures étaient de 5 à 7 degrés au-dessus de la moyenne.»
Cette situation actuelle s’explique notamment par le positionnement de l’anticyclone qui a fait barrage aux perturbations.
Ce manque de précipitations et ces températures supérieures à la normale, est-ce un effet du réchauffement climatique? La prudence s’impose. «A l’horizon 2040, les hivers devraient être plus doux mais également plus pluvieux (+10% de précipitations) que durant la période 1961-1990.»
Céu limpo e temperatura a subir a bom ritmo
Temperatura Actual 17,7°C
Humidade Actual 60%
Vento fraco de Nordeste
Temperatura Minima 5,4°C
Entretanto a ameaca de seca e o perigo dos incendios é tema de preocupaçao na Comunicaçao Social
En trois mois, du 1er janvier au 31 mars, il n’est tombé que 87 mm à Aigle (40% de la norme 1961-1990), 116 mm (49%) à Lausanne et 57 mm (33%) à Payerne. La situation est pire encore en Valais avec une valeur record pour Crans-Montana, à 36 mm (12%). En comparaison, Bâle a reçu 114 mm (75%), Lucerne 156 mm (79%).
Pour Vincent Devantay, de MeteoNews, ce déficit hydrique important a comme conséquences un très faible enneigement en montagne et des niveaux anormalement bas des nappes phréatiques et du débit des cours d’eau.
Risque d'incendies
«La situation pourrait devenir critique ces prochaines semaines pour la nature et le danger d’incendie. Il faudrait plusieurs jours de précipitations continues pour que la situation s’améliore. Sans oublier que l’automne dernier a été très sec aussi. Heureusement que l’on a vécu un épisode neigeux fin novembre-début décembre!»
Ces très faibles précipitations ont été accompagnées de températures très élevées. Toujours selon Vincent Devantay, «en mars, les températures ont été de 3 à 4 degrés supérieures à la moyenne. Ce fut déjà le cas, dans une moindre mesure, en janvier et en février. Mais, en 2003, durant l’été, les températures étaient de 5 à 7 degrés au-dessus de la moyenne.»
Cette situation actuelle s’explique notamment par le positionnement de l’anticyclone qui a fait barrage aux perturbations.
Ce manque de précipitations et ces températures supérieures à la normale, est-ce un effet du réchauffement climatique? La prudence s’impose. «A l’horizon 2040, les hivers devraient être plus doux mais également plus pluvieux (+10% de précipitations) que durant la période 1961-1990.»